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bandu2 : menu_arrow.gif Article: RECEPTION D’OUVRAGES ET DESTRUCTION DU PONT DE PIKINE : - 14/05/2010 12:24

RECEPTION D’OUVRAGES ET DESTRUCTION DU PONT DE PIKINE :Karim Wade tire sur le Ps et magnifie les réalisations de Me Wade.

Venu à Pikine avant-hier mercredi pour présider la cérémonie de réception de nouveaux échangeurs et la démolition d'un vieux pont, le ministre des Infrastructures en a profité pour critiquer le régime socialiste qui, selon lui, n'a rien réalisé en matière d'ouvrages routiers en 40 ans de règne. Par contre, il n'a pas manqué de magnifier la vision de son père dans ce domaine.

Pour Karim Wade, depuis que la colonisation a pris fin, il n’y a eu rien comme infrastructures au Sénégal. C'est comme s'il y avait de nombreuses pages vides dans l'histoire de la construction de notre pays. «À chaque fois que nous réalisons un ouvrage, nous nous rendons compte que nous le faisons sur un vieil ouvrage réalisé par le colon. C'est le cas de l'aéroport, du port, des chemins de fer, etc. Tous ont été construits par le colonisateur. C'est pourquoi on se pose la question : qu'est-ce que le Ps a réalisé pendant 40 ans ? » déclare-t-il. Et d'ajouter : « aujourd'hui, c'est des gens qui parlent et nous attaquent.  Je crois qu'à part parler, ils n'ont véritablement pas d'actifs dans leur bilan ». À l'en croire, à son arrivée au pouvoir en 2000, Me Abdoulaye Wade a engagé une politique hardie et performante de développement des infrastructures. «Aujourd'hui, le président de la République a démontré largement que les infrastructures ne sont pas des entités isolées. Elles se complètent, s'articulent, se connectent et se conjuguent dans un maillage qui facilite la circulation des personnes, des biens et des services », soutient-il. Selon Karim Wade, comme l'ensemble des ouvrages de l'autoroute de l'avenir, les infrastructures qu'ils inaugurent sont faites pour supporter  de façon durable le trafic croissant d'un pays en pleine expansion économique. « Il y a quelques jours, avant la mise en service de ces ouvrages, les usagers de la route, particulièrement ceux de la banlieue, perdaient beaucoup de temps, mais les nouvelles infrastructures routières bâties à la place du pont de Pikine ont déjà prouvé leur fonctionnalité, à la grande joie des automobilistes et des populations riveraines », révèle Karim Wade. Pour lui la démolition du vieux pont marque la fin du calvaire de millions de Sénégalais qui, plusieurs fois par jour, doivent se déplacer vers Dakar. « Elle marque la fin des embouteillages et améliore la fluidité entre Dakar et le reste du Sénégal, vice-versa », souligne-t-il. Pour mémoire, ledit pont a été construit en 1953 et avait coûté 3.200.000 francs ; il était conçu pour recevoir 3.000 véhicules par jour, mais a dû courber l'échine pour supporter jusqu'à sa destruction 100.000 voitures qui se bousculaient nuit et jour.

L'Observateur

bandu2 : menu_arrow.gif Article: COUP DE GUEULE. Basta ! Par Demba Ndiaye - 12/05/2010 14:54

COUP DE GUEULE. Basta ! Par Demba Ndiaye

Sénégal Airlines: Les compétences nègres exclues.


C’es connu, le Sénégal n’a pas de compétences. Et cela au moment où semble-t-il, on fête le cinquantenaire de notre indépendance et où on inaugure en grandes pompes un monument dédié à la renaissance africaine. C’est dans le même temps, que le ministre d’Etat, « ministre de la « Terre et du ciel », par ailleurs fils du chef de l’Etat, toujours en « route vers le sommet » (de quoi du reste), annonce dans un communiqué que Monsieur Edgardo Badiali, a été nommé Directeur général de Sénégal Airlines. Il a été désigné par le Conseil d’administration réuni le lundi 10 mai.

Il semble que c’est suite à « un avis international de recrutement » que neuf candidats de « différentes nationalités ont été sélectionnés ». Et c’est le candidat de nationalité italienne et, tenez-vous bien, qui parle « français et s’exprime aussi bien en anglais et en allemand » qui a remporté le suffrage du conseil d’administration. Autrement dit, aucun Nègre africain, encore moins un sénégalais, « ne répond le mieux aux critères définis pour diriger Sénégal Airlines ».

Evidemment, si on va chercher des experts européens et américains pour nous dire comment nous mettre d’accord sur notre fichier électoral, on ne voit pas pourquoi on n irait pas chercher les mêmes pour nous dire comment piloter les futurs avions de la future « Sénégal Airlines ».

On est en droit de se poser la question : « y a-t-il un nègre capable de gérer » une compagnie aérienne africaine ? Je me suis pourtant laissé dire que nous avions parmi les meilleures ressources humaines dans tous les domaines ainsi que parmi les meilleurs pilotes. Dont la plupart ont migré sous d’autres cieux depuis les morts programmées d’Air Afrique et d’Air Sénégal international.

Dites-moi, qui organise les fuites de cerveaux ? Et à qui profitent-elles.

africanglobalnews.com

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Autorisation TFM : Youssou Ndour s’adresse aux sénégalais et donne un conce - 12/05/2010 12:27

Autorisation TFM : Youssou Ndour s’adresse aux sénégalais et donne un conceLe président Abdoulaye Wade vient d’accorder l’autorisation d’émettre à la Télévision Futurs Médias (Tfm), après plus de deux années de polémique sur son mode de financement. Selon les autorités étatiques, c’est parce que Youssou Ndour a fourni toutes les preuves quant au financement de sa télévision, fait principalement sur fonds propres. Le chanteur avait en effet donné, dans le détail près, le mode de financement de la TFM, d’une valeur totale de 1 175 544 euros (France) et 125 millions de francs CFA.

 «C’est ainsi qu’un Contrat Leasing (location avec option d’achat) a été signé en juin 2008 entre le Groupe Futurs Médias et la Société Astene, sise 50, avenue du Président Wilson, La Plaine Saint Denis (France). La période de location est de 36 mois, avec, pour rappel, option d’achat. Le début des opérations a été arrêté par les deux parties au 25 juillet 2008. Le contrat de location-vente de l’équipement pour Tfm stipule un premier versement, soit un dépôt hors Tva (Taxe sur la valeur ajoutée), et l’acquittement trimestriel d’un montant (dit loyer) égal au premier versement», avait écrit Youssou Ndour. «Outre les montants de 1 175 544 euros et 125 000 000 de francs CFA précités, il y a celui de 300 000 000 de francs CFA destinés à la construction et à l’aménagement du bâtiment de TFM.

 A ces montants s’ajoutent des frais de missions occasionnés par de nombreux voyages en France et en Chine (titres de transport, séjours, perdiems, etc. A ce jour, au titre des paiements, il reste à solder 300 000 000 de francs CFA», avait-il ajouté.

Joint au téléphone par SENEWEB-NEWS, le ministre de la Communication, Moustapha Guirassy, a confirmé l’information. «Le problème avec Tfm, c’était le mode de financement qui n’était pas clair. Mais Youssou Ndour a apporté les preuves du financement de la Tfm. Dès lors, rien se s’oppose à ce qu’on l’autorise à émettre », a déclaré le ministre.

La nouvelle a été accueillie dans la grande joie du côté de l’immeuble Elimane Ndour, siège du Groupe. Selon la rédaction de la RFM, le chef de l’Etat a procédé toutes les vérifications nécessaires avant de donner son accord pour l’ouverture officielle de la Tfm. Youssou Ndour va s’adresser au peuple sénégalais à 20 heures et donnera un concert gratuit devant les locaux de la Rfm.
 

Seneweb

bandu2 : menu_arrow.gif Article: CONCERT GRATUIT AU STADE LEOPOLD S. SENGHOR : Une pléiade d’artistes chante - 12/05/2010 12:24

CONCERT GRATUIT AU STADE LEOPOLD S. SENGHOR : Une pléiade d’artistes chante

Un méga concert pour la paix va réunir, cet après-midi au stade Léopold Sédar Senghor, des stars comme Youssou Ndour, Omar Pène, Pbs, Titi, Abdou Guité Seck, Ma Sané, Baaba Maal, Pape Diouf, Mame Balla, Abou Thioubalo, Carlou D, la chorale de Julien Jouga, Dj Xuman et le groupe Darou Salam. Ainsi, 700 policiers du Groupement mobile d’intervention (Gmi), 300 gendarmes, 90 sapeurs pompiers, 60 éléments de la Croix-Rouge parmi lesquels des médecins, infirmiers et secouristes sont mobilisés pour assurer la sécurité des spectateurs au concert pour la paix, la tolérance et l’entente. Prévu cet après midi au stade Léopold Sédar Senghor, cet événement est organisé par les Etats-Unis d’Amérique pour promouvoir la paix dans les cœurs et les esprits. Les portes du stade sont ouvertes à partir de 16h et le concert va démarrer à 18h. « Nous avons pris toutes les dispositions pour permettre au public d’assister au spectacle et de rentrer en toute quiétude. Nous ne ménagerons aucun effort pour assurer la sécurité de tous aussi bien à l’intérieur qu’aux environs du stade », a affirmé les responsables de la structure événementielle « Concert, caravane productions » (Ccp), en l’occurrence Amadou Thiam et Fatou Sow.

Ils ont engagé 152 stadiers qui s’occuperont de l’entrée en deux temps, c’est-à-dire au portail et au niveau des vomitoires. Il y a aussi une équipe privée d’éléments de sécurité mobilisée exclusivement pour la sécurité des artistes et des techniciens de la production. Malgré la centaine de barrières pour organiser l’occupation de l’espace sur la pelouse, Fatou Sow conseille aux parents de laisser les enfants suivre le spectacle à partir des gradins. « Au regard des artistes qui vont se produire, nous allons offrir aux Sénégalais un concert de qualité », a soutenu Amadou Thiam.

Le Soleil

bandu2 : menu_arrow.gif Article: CONFERENCE SUR L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR A L’UCAD - 11/05/2010 16:02

CONFERENCE SUR L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR A L’UCADSeuls 30% des étudiants terminent la licence


La direction de l’enseignement supérieur a organisé hier, lundi 10 mai, à l’Université Cheikh Anta Diop, une conférence sur le financement de l’enseignement supérieur. Cette rencontre a eu pour objectif de regrouper l’ensemble des acteurs de la question afin de trouver des stratégies de développement de l’enseignement supérieur Sénégalais.

Quatre pour cent seulement des adultes ayant été à l’école sont parvenus, en dépit des efforts du gouvernement sénégalais, à effectuer des études supérieures, a révélé Jamil Salmi, agent de la Banque mondiale et professeur en science de l’éducation. M. Salmi estime que le déficit est immense malgré les efforts du Sénégal. Il soutient à ce propos que 80 % des populations adultes ont un niveau d’études primaires et 4% seulement ont fait des études supérieures.

Jamil Salmi fait partie d’une mission technique de la Banque mondiale qui séjourne à Dakar, pour participer à la préparation d’une stratégie de développement de l’enseignement supérieur au Sénégal

Pour l’agent de la Banque mondiale, les pays doivent promouvoir la recherche du savoir, car selon lui l’éducation doit se faire tout au long de la vie et l’université de demain doit ressembler à une étoile.

Jamil Salmi a fustigé la classification souvent faite dans le système éducatif entre les « bons » et les « mauvais » scientifiques, assimilables à ceux qui ont suivi les séries littéraires.

Pour lui, la situation du Sénégal où 30 % des étudiants terminent leur licence n’est pas rationnelle. L’expert de la BM a demandé aux responsables de l’enseignement supérieur de prendre leur avenir en main.

Les dépenses de l’Etat dans l’enseignement supérieur ont augmenté de 9,3 % par an entre 2005-2008, a révélé Atou Seck, spécialiste de l’éducation à la Banque mondiale (BM).

M. Seck d’ajouter qu’entre 2005-2008, il y a eu une augmentation de 9,3 % des dépenses par an. Le Sénégal est parmi les pays qui ont alloué plus de ressources à l’enseignement supérieur, a-t-il expliqué au cours de sa présentation sur la revue des dépenses du sous-secteur de l’enseignement supérieur entre 2005-2008.

Atou Seck est à la tête d’une mission technique de la Banque mondiale (Bm) qui séjourne à Dakar pour participer à la préparation d’une stratégie de développement de l’enseignement supérieur au Sénégal. M. Seck a indiqué que les autorités ont également fait preuve de beaucoup de volontarisme dans la réalisation d’infrastructures.

Malgré tout, les dépenses dans l’enseignement supérieur n’ont pas été alignées sur les priorités du développement. Il a précisé que sur la période 2007-2008, par exemple, il y a eu une inégalité dans les investissements. En effet, précise t-il, l’université Cheikh Anta Diop (Ucad) de Dakar a reçu 70 % des budgets d’investissements, 28 % pour l’université Gaston Berger et 1% pour l’université de Ziguinchor. Atou Seck a aussi souligné qu’environ 38% des dépenses publiques sont pour le fonctionnement, 40 % pour les bourses.

Sur cette base, les dépenses de fonctionnement et les bourses sont supérieures au budget disponible. Ce qui induit des tensions budgétaires d’autant que les ressources disponibles ne couvrent que juste 10 mois de fonctionnement. A partir de là, il faut augmenter les ressources et réviser les dépenses, a suggéré Atou Seck.

Sud Quotidien