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bandu2 : menu_arrow.gif Article: Wade crédité de 27% des voix en cas d’élection - 26/05/2010 17:24

On en sait un peu plus sur ce qui a motivé le débat sur la suppression du second tour à la prochaine élection présidentielle, soutenu par certains responsables libéraux. Il ressort des résultats de ce sondage que, si le deuxième tour est supprimé et qu’on aille aux élections demain, Wade passe sans problème.

Les résultats du sondage rendus publics par Afrobaromètre, une organisation indépendante et non partisane, en disent long. A la question posée aux Sénégalais pris dans toutes les régions du Sénégal, de savoir : «Si une élection présidentielle avait lieu demain, pour le candidat de quel parti voteriez-vous ?» Il est ressorti que 27% des «adultes sénégalais» promettent de voter pour le candidat du Parti démocratie sénégalais (Pds). Et avec ce chiffre, Me Wade arrive en tête devant le Parti socialiste (Ps) qui a obtenu 9%, la coalition Takku défar Sénégal 8%, l’Alliance des forces de progrès (Afp) 4%, ensuite viennent les autres.

Ce sondage fait entre le 19 mai et le 4 juin 2008, a été mis à la disposition de la presse, hier. C’était lors d’un atelier de renforcement de capacité des journalistes sur l’utilisation des sondages d’Afrobaromètre. Cette organisation, qui effectue une enquête représentative, aléatoire et stratifiée tous les deux ans, travaille sur un échantillon de 1 200 adultes sénégalais. Et ce sont des entretiens tête-à-tête menés dans les 11 régions du Sénégal. Incluant aussi bien les zones urbaines que rurales, par le Groupe d’études et de recherches constitutionnelles et politiques (Gercop) logé au sein de l’Université Gaston Berger (Ugb).

25% de l’électorat toujours indécis


Autre fait important à souligner dans les résultats de ce sondage, c’est que 6% des personnes interrogées disent qu’ils ne voteront pas s’il y avait une élection présidentielle demain. Mieux, 14% refusent de répondre, mais 25% ne savent pas pour l’instant pour qui ils voteront. Ce qui veut dire que rien n’est encore joué. Il faut ajouter aussi un autre fait remarquable : Macky Sall a quitté le Pds et n’est pas concerné par ce sondage. Contrairement à Idrissa Seck, qui, dans ce sondage, est mal classé. Il faut aussi préciser que ce sont les ruraux et les hommes qui sont plus nombreux dans le lot des partisans de Me Wade.

LECTURE : Wade passerait si on supprimait le 2e tour

Et si c’est ce document qui a inspiré les partisans de la suppression du second tour ? Ce n’est pas à écarter, surtout au vue des résultats d’un sondage. Car, il est mentionné clairement dans ces résultats que si demain on organisait une élection présidentielle au Sénégal, c’est Me Wade, candidat du Parti démocratique sénégalais et des autres partis de la mouvance présidentielle, qui arriverait en tête. Et en cas de suppression du second tour, Me Wade passe haut la main, même avec un taux qui n’atteint pas cinquante pour cent. Il aurait précisément 27% de l’électorat. Suivi par le Parti socialiste (Ps) qui aurait 9% de l’électorat. Mais en cas de maintien du second tour, Me Wade devrait y avoir droit. Car il n’obtiendrait pas cinquante pour cent des suffrages.

Même unie, l’opposition doit encore travailler

Les résultats du sondage ne disent pas combien de Sénégalais voteraient pour l’opposition, si elle présentait un seul candidat. Mais aussi, même si on regroupait tous les scores des partis membres de Benno Siggil Senegaal, Me Wade les dépasserait d’un point. Concrètement, Benno aura 26%. Mais il faut préciser qu’il y a une réserve de 25% de l’électorat qui n’a pas encore pris sa décision et qu’il va falloir aller chercher. De même que 14% de l’électorat qui, par contre, refuse de dire pour qui ils voteraient. Donc, rien n’est encore joué. Et les politiques comme ils savent si bien le faire doivent redescendre sur le terrain (politique) pour convaincre ces électeurs qui ne se sont pas encore décidés.

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Wade/ Mansour Sy Djamil : Des jeunes marabouts d’Europe prêchent le rapproc - 19/05/2010 18:25

Wade/ Mansour Sy Djamil : Des jeunes marabouts d’Europe prêchent le rapproc

Loin de leur pays, de jeunes marabouts Sénégalais établis en Europe, regroupés au sein du Dahira «Miftahoun Mouna», ne se détournent pas pour autant de l’actualité nationale marquée, il est vrai, par les relations tendues qu’entretient le président Wade avec les mouvements citoyens. Serigne Abdourahmane Mbacké dit «Mara» et ses camarades en appellent à un rapprochement des deux camps. Particulièrement entre le chef de l’Etat et Serigne Mansour Sy Djamil.


L’association des jeunes marabouts établis en Europe, «Miftahoun Mouna» prêche le rapprochement entre le président Abdoulaye Wade et Serigne Mansour Sy Djamil. C’est depuis l’Italie que son responsable moral nous a joint au téléphone pour faire part de son inquiétude quant à la tournure que peut prendre une telle tension entre ces deux hommes que rien ne doit séparer. Sachant que l’exercice de la conscience citoyenne implique la collaboration du pouvoir temporel avec le pouvoir spirituel, c’est-à-dire l’autorité religieuse. Autrement dit, Serigne Abdourahmane Mbacké dit «Mara», affirme à qui veut l’entendre que la cohabitation, inéluctable, entre ces représentants des pouvoirs spirituel et temporel, doit être de mise pour le bénéfice du Sénégal. Par conséquent, ces jeunes marabouts demandent aux personnalités comme le président du Sénat, Pape Diop, le ministre chef de cabinet du président de la République, Pape Samba Mboup et le sénateur Ahmed Bachir Kounta, d’user de leur proximité avec le chef de l’Etat pour instaurer un climat de paix entre ces deux hommes. Et par delà, entre le président de la République et les animateurs de tous les mouvements citoyens. Parce que, disent-ils, c’est dans l’intérêt du Sénégal et des Sénégalais qu’ils se retrouveront autour d’une table.

Et non sans rappeler que le marabout de Fass n’est pas un opposant à Me Abdoulaye Wade. La preuve : En s'adressant au ministre Kalidou Diallo lors du Gamou annuel de son défunt père en janvier 2009 à Louga, il disait que ceux qui font croire au président Abdoulaye Wade que moi, Mansour Sy Djamil, je suis contre lui, ne lui disent pas la vérité. «Dites-lui que je lui dois respect et considération et qu'il est mon président», avait-il déclaré au ministre de l’Education nationale dans la capitale du Ndiambour, où le vénéré Moustapha Seydi Djamil Sy compte de nombreux talibés.

Et c’est l’occasion pour Serigne Abdourahmane Mbacké et ses camarades de revenir sur le rôle que doit jouer le marabout. A les en croire, le marabout est quelqu’un qui doit orienter les gens pour les amener à rencontrer Allah Soubhanahou wa Taallah, préparer l’homme à assumer la finalité de son existence sur terre. C’est quelqu’un qui est au fait de la société dans laquelle il vit et qui intervient quand ça ne va pas. Il doit être un contrepouvoir et non forcément contre le pouvoir.

 

bandu2 : menu_arrow.gif Article: CANDIDATURE UNIQUE : Le piège qui guette - 19/05/2010 18:09

CANDIDATURE UNIQUE : Le piège qui guette
Depuis quelques temps, la candidature unique de l'opposition défraie la chronique. La récente visite de Macky Sall à Touba, demandant au khalife de prier pour qu'il occupe la station présidentielle, est venue corser la donne. Candidature unique ou plurielle pour Benno ? Les leaders vont se prononcer dans les prochains jours. Réflexion sur une question cruciale pour la conquête du pouvoir.  "Nous sommes pour une candidature unique". La confidence est de l'écologiste Ali Haïdar. Cette thèse semble trouver un écho favorable auprès du Pit et de la LD. Les autres composantes de Benno comme le Parti Socialiste et l'Afp semblent plus nuancées et préfèrent reporter la question à plus tard. Dans tous les cas, la candidature unique ou multiple hante le sommeil des principaux partis de la mouvance "Benno". 

 

Le seul hic pour l'opposition est d'arriver à un consensus sur qui choisir.  Si l'on scrute l'histoire récente de la politique sénégalaise, on se rend compte que la première fois que l'alternance est survenue dans ce pays, elle a été la résultante d'une candidature plurielle au premier tour. 

 

Qui choisir si l'opposition avait opté pour une candidature unique ? Électoralement parlant, le leader du Parti Socialiste, Ousmane Tanor Dieng, serait en pole position pour avoir réalisé parmi tous les prétendants de l'opposition actuelle le meilleur score lors de la présidentielle 2007. Entre temps, le Ps s'est bonifié avec la venue d'autres acteurs. 

 

Il s'y ajoute que le Parti Socialiste, pour être défait par l'alternance, est la formation qui peut dire qu'elle veut reconquérir son pouvoir. C'est dire que Ousmane Tanor Dieng serait le mieux indiqué pour porter une candidature unique dans "Benno". Le hic se situe au niveau des velléités de dissidence qui font jour au sein du Parti Socialiste. Il se susurre de plus en plus que Khalifa Sall et Aïssata Sall grincent des dents. 

 

Au-delà de sa légitimité historique, Tanor semble souffrir de ce que le sociologue Weber appelle "la légitimité charismatique". Pour le cas de Moustapha Niasse, il pourrait être le candidat unique de Benno. Là aussi, on risque de se confronter à un problème de rivalités entre militants. Les socialistes ne pardonneraient jamais à Niasse d'avoir contribué à leur chute. 

 

De même que les partisans de Niasse ne digéreraient jamais que leur mentor ait quitté du "fait de Tanor". Les alliances risquent de voler en éclats en cas de candidature unique. À cela vient se greffer le niveau de conscience politique des Sénégalais, relativement bas. Que dire de Macky Sall ? Macky Sall malgré ses attaques féroces contre le régime Wadien, est co-comptable de la décennie de gestion de l'alternance. Il a eu un parcours politique exceptionnel qu'aucun homme politique de ce pays n'a eu.

 

 Directeur général de PETROSEN, Ministre des Mines, de l'Energie et de l'Hydraulique, ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Porte-parole du Gouvernement, Premier ministre et Président de l'Assemblée Nationale avant d'être poussé à la sortie, il ne lui reste que la station présidentielle pour boucler son palmarès. Au-delà de cet état de fait, Macky Sall a besoin de se compter.

 

 L'élection présidentielle de 2012 constitue pour lui un sérieux baromètre. Cette conjonction de facteurs fait qu'il sera difficile à l'opposition de trouver un seul candidat face à Wade. La meilleure stratégie pour Benno de tenir la dragée haute face au président sortant, serait de se constituer en pôles. Quatre pôles se dégagent avec des têtes de file : Tanor, Niasse, Macky et Cheikh Bamba Dièye. Et un second tour est inévitable. 

 

Sans compter les mouvements citoyens qui auront leur candidat. Dans tous les cas, les dirigeants de Benno doivent avoir la claire conscience que Wade est une bête politique. Et dans le combat pour la préservation de son fauteuil, il ne lésinera point sur les moyens matériels et humains à déployer. Les paris sont ouverts... 

 

Le Matin

 

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Le président Wade intime à ses ministres l’ordre de limiter leurs voyages : - 17/05/2010 12:23

Le président Wade intime à ses ministres l’ordre de limiter leurs voyages :Karim brave l’interdiction, en affrétant des jets privés

Le président Wade a ordonné à son Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye de lui soumettre tout projet de voyage d'un membre du Gouvernement. Mais, on pourrait lui prêter une ruse pour cacher ses déplacements.


Le président Wade ne reste pas au Sénégal 10 jours, sans sortir du pays à bord d’un Boeing. Il les loue, en dépit d’avoir fait réparer, par l’argent du contribuable sénégalais, l’avion de commandement présidentiel à 35 milliards. Son épouse est devenue une cliente courue par les compagnies de location d’avions. Son fils quitte, presque tous les matins le Sénégal, à bord d’un jet privé, pour revenir avec lui le soir. Les Sénégalais, décaissent 12 milliards de francs Cfa, par an, pour leurs déplacements, Karim non compris. Ce qui outre les Sénégalais et met les institutions internationales et les bailleurs de fonds sur leurs grands chevaux.

C’est dans ce contexte que le président Wade a ordonné à ses ministres de ne plus voyager, hors du pays, sans son autorisation ; comme si son fils n’était pas membre du Gouvernement. Il est vrai qu’il est le ministre qui peut tout se permettre, grâce à son père, avec lequel il viole, au quotidien, leur interdiction. Mais, Souleymane Ndéné et son équipe font comme s’ils n’avaient rien remarqué. Tous tiennent à leurs fromages et Wade connaît leurs goût pour les honneurs. Seuls, donc, les Sénégalais vont payer les caprices d’une famille présidentielle !

 
XIBAR.NET  

bandu2 : menu_arrow.gif Article: Clotilde Reiss : Kouchner refuse de confirmer l'implication de Wade - 17/05/2010 12:20

Clotilde Reiss : Kouchner refuse de confirmer l'implication de Wade
Bernard Kouchner n'a pas voulu confirmer si « oui » ou « non », le Sénégal est intervenu dans la médiation pour la libération de Clotilde Reiss. Interrogé dimanche sur la médiation du président Wade, il s'est contenté de lancer aux journalistes : «Regardez comme je suis muet ». Selon Le Figaro qui cite une source du Quai d'Orsay : «Les Sénégalais ont effectivement joué un rôle, mais ils n'étaient pas seuls».
Wade interrogé à ce sujet par Le Parisien, Wade concède que, dans ce genre d'affaire, «beaucoup de gens interviennent». Mais, «ce que je peux affirmer, chronologie en main, c'est que cette libération est le résultat direct de ma médiation», poursuit-il.